samedi 31 janvier 2009

Marc Audibet


What was the most significant moment of your career?

When I created bi-extensible fabrics said the stretch for my own minimalist collections Marc Audibet in the 80s, and then when I was the designer for Prada for who I designed the anonymous look for the 90s.

Who are your icons and why?

Ava Gardner as feminine ideal, Gary Cooper as man, Greta Garbo as myth, Anna Magnani as actress and all the Chinese actresses of today.

What are you working on right now?

I am working at the moment on the Winter 2008 Vionnet collection.

What is your definition of LUXURY?

The rarity.

If luxury was:

Silence is the Luxury of our time.

An object?

The objects in rock crystal : cups, cutlery, chess game, and skull and Aztec crossbones of the sixteenth century.

A person?

A person beautiful inside and outside…

A moment?

A conversation in front of a cup of tea or a glass of wine.


SPOTS IN YOUR CITY: PARIS

1. What is the best thing about living in your city and why?

Certain imperviousness to time

2. What is the worst and why?

The conservatism and the aggressiveness.

3. What are your favorite places for a dose of culture? Why?

The Louvre and its Egyptian and Mesopotamian galleries, the Guimet Museum and La Maison Rouge, the Orsay Museum and its Carl Theodore Dreyer gallery…

Galleries : The Art galleries and antique shops of the Left Bank

Squares : Place Vendôme and Place de la Concorde

Concert places : The théâtre des Champs Elysées, the Garnier Opera, la salle Pleyel

4. What are your favorite places to shop? And why?

Royal chocolat Debauve & Gallais (30 rue des Saints Pères – 75007 Paris www.debauve-et-gallais.com ) for the chocolate truffes.

GALIGNANI (224, rue de Rivoli 75001 PARIS 01.42.86.09.31) the best English library.

5. What are your favorite places to relax (spas, parks, gardens) Why ?

L'Appartement (217 rue de Saint Honoré) a zen and bio place..

The Luxembourg garden.

The garden of Chateau de Versailles…

6. What are your favorite places to go out? Why?

Cafe Flore, an idea of a mixture of people in Paris
Nightclubs : Baron, the Gibus on Friday (www.gibus.f ) a Parisian melting pot scene…

7. What are your favorite restaurants? Why? Name your favorite dish or cocktail

Le 21 (21, rue Mazarine 75006 PARIS) specialized in fish and the Voltaire restaurant for its excellent traditional French food and Parisian taste…

8. What are your favorite hotels? Why? Please do mention your favorite place inside these hotels.

The Hotel Ritz and its Hemingway bar. The Plaza Athénée and its lounge for tea and drinks.

9. Please do mention something every visitor to your city must do or can't miss.

Crossing the Alexander III bridge in the evening at 6pm in Summer time and look at both sides of the Seine River to see the sky and the horizon.

10. Who is/are your favorite artist/artists?

From Diego Velázquez to Bill Viola via Dan Flavin
Jean Renoir

Zhang Yimou

11. Who are your favorite music composers?

Igor Stravinsky, Richard Strauss, Phil Glass, the avantgardist pop

12. Who is your favorite designer?

Mies van der Rohe, Shiro Kuramata, Zaha Hadid

Marc Audibet for Vionnet






The turn-around at Vionnet has begun - and that is the appropriate language to describe the work of the designer Marc Audibet, who put so much loving attention into the back of his slithering dresses. A red ribbon criss-crossing a bared back or just a scoop at the nape proved how deeply Audibet has understood the essence of Madeleine Vionnet, who invented the bias cut in the 1930s. "It's the mystery - she was a sorceress," said Audibet, explaining how the importance of Vionnet's style is the apparent ease with which fabric "falls like the rain" across the body.

That effect comes from complex seaming. And just following Audibet's trail of seams was a jigsaw puzzle: here, a diamond pattern etched into a short chiffon dress; there, a sunburst of tiny tucks in a bodice or a halter neck with the skirt draped across the body below. The 20-piece presentation was mostly in black, but used that as a "color" according to different textures. A touch of red and a soupçon of pink made for a sophisticated and elegant after dark collection that deserves the big investment needed to revitalize Vionnet.

vendredi 30 janvier 2009

Marcus Aurelius

Roma

SARAH

Un chorégraphie grave et superbe de François Raffinot


La danse des adieux



Un chorégraphie grave et superbe de François Raffinot



Les danseurs se sont installés dans un silence serein. Une voix sort de l'ombre. Et le mouvement, lentement, s'insinue dans le corps de cinq interprètes vêtus de noir. Des réminiscences baroques rappellent que François Raffinot, le chorégraphe d'« Adieu », parcourut naguère l'univers du ballet de cour. Du quintette, on est bientôt passé à un quatuor vêtu de blanc... des pas glissés, des ports de bras qui semblent autant de supplications. Trois vestales dansent, en robes écarlates sorties des ateliers de la maison Hermès, comme tous les costumes du spectacle, et conçus par Marc Audibet. Noir, blanc, rouge, vert, bleu, chaque couleur accompagne quintette, quatuor, trio, duo, solo... avant que les lumières savantes de Françoise Michel ne chavirent avec le dernier danseur et que s'installe l'obscurité. C'est ainsi que se décline cet « Adieu » que François Raffinot a voulu adresser à Dominique Bagouet ou à d'autres amis disparus, comme Robert Kovich. Pour ce faire, le chorégraphe a recouru à une composition de Pascal Dusapin, « Medeamaterial ». Un peu sévère, un peu froid peut-être, l'adieu est grave. Mais il est surtout très beau.

Raphaël de Gubernatis

This evening cape is a magnificent statement in restrained luxury





Jacques Doucet Irish lace/silk brocade evening cape, c.1905

Jacques Doucet (grandson of Mme. Doucet) prided himself on being a gentleman as well as a couturier: a gentleman who produced luxurious but unostentatious creations in perfect taste. Clientele of the House of Doucet included the elite of American and European society, royalty like Emperor Napoleon III, and the Kings of Bavaria and the Netherlands.

Doucet also dressed famous Parisian actresses, like Réjane, celebrated for her performance as Madame Sans-Gêne (Napoleon’s laundress, who married one of his marshals). Réjane was a particular friend, who wore his clothes on and off the stage. When Jacques Doucet took over the family business at 21 Rue de la Paix, he raised the already successful couture establishment to new heights.

This evening cape is a magnificent statement in restrained luxury. The decoration is minimal, allowing full attention to the superb fabric. I love the lavender color! The floral pattern of the silk brocade is echoed in the stripes of handmade Irish crochet lace. The dramatic sweep of the skirt is balanced by a large cape-collar trimmed with feathers. The cape is totally lined with ivory satin. This is the sort of cape that Réjane might have worn to make a grand entrance!

Le péché


Péché est un mot utilisé dans les religions et certaines sectes pour désigner une transgression volontaire ou non de ce que celle-ci considère comme loi divine. Il est souvent défini comme une désobéissance, un refus, un obstacle au salut ou encore comme une cause de mort de l'âme.

La négation du péché et de la grâce s'appelle pélagianisme, doctrine hérésiarque de Pélage.

Sophie Ristelhueber


Sophie Ristelhueber
du 20 janvier au 22 mars 2009
Sophie Ristelhueber (née en 1949) vit à Paris, où, avant de se consacrer à la photographie, elle a fait des études littéraires et a travaillé dans la presse et l'édition.
Depuis plus de vingt ans, elle poursuit une réflexion sur le territoire et son histoire, au travers d’une approche singulière des ruines et des traces laissées par l’homme dans des lieux dévastés par la guerre. Loin du photoreportage classique, elle s’attache à la mise à nu des faits et à l’empreinte de l’histoire, dans les corps et dans les paysages, en rendant visibles plaies et cicatrices, véritables mémoires des traumatismes.

Dans cette première grande exposition de l’artiste en France, le Jeu de Paume présente, entre autres séries, "Beyrouth", "Vulaines", "Fait", "Eleven Blowups"..., ainsi que deux films inédits dont l'un spécialement conçu pour la circonstance.

Portrait d'une princesse d'Este

Mona

mercredi 28 janvier 2009

de luz by Marc Matyjasik

Ciel, ses bijoux !

Les Echos n° 19583 du 13 Janvier 2006 • page 105

Mis à part l'homme des cavernes avec son fémur dans le nez, les pirates des Caraïbes, Johnny et ses fans et les adeptes du body-piercing, la dernière fois qu'on a vu un homme porter des bijoux en l'affichant socialement remonte à Henri III, lequel jouait fort bien du bilboquet en arborant chic ses perles-poires paléo-Chanel à l'oreille. Les choses étant ce qu'elles furent, morale industrielle et bon goût du droit des affaires obligent, le mâle occidental fut ensuite bien aimablement prié de remiser sa quincaillerie et de se borner à n'arborer que le strict nécessaire. Tant pis pour les rêves de tiare et de sautoirs au bureau.

Tout ça pour dire que, jusqu'à fraîche date, un homme bijouté, ça vous avait soit une dégaine de marlou à gourmette, soit une aura sulfureuse de garçon protosensible. Désormais, sans prétendre que courir le jeton dans les conseils d'administration une rivière scintillante en guise de cravate soit vraiment recommandé, les moeurs se sont assez relâchées pour faire sauter ces cadenas. Or blanc, platine, rhodium, cuir, ébène, pierres dures, clous, cristal : les matières utilisées calment les angoisses _ design contemporain et références à diverses virilités extraites des univers militaire, motard ou religieux achevant de séduire. Argent et noir, le nouveau bijou pour homme relève plus de l'objet symbolique que de la parure tape-à-l'oeil et tente de gommer les vieux fantasmes régulièrement recyclés et montés en épingle. Après le dandy, le métrosexuel. Ou autre bricolage fumant marketé, réclamant sa part de féminité. Du coup, de Calvin Klein à Hugo Boss en passant par Hedi Slimane pour Dior Homme, tout le monde s'y met et sort de sa cassette boucles, pendentifs, bracelets, tours de cou, amulettes, médailles, plaques, bagues, etc., destinés à parer son nouvel homme.

Après les arts de la table, des maisons comme Christofle avec la Collection 929 par Andrée Putman ou Baccarat avec la microligne de bijoux B for Men se jettent dans la bagarre et aussi au cou de la gent masculine. Grâce aux sobres créations DeLuz par Marc Matyjasik (photo, pendentif), aux gris-gris mystiques post-baba cool Paul Smith et aux audaces rieuses du Londonien Robert Tateossian, on sait que la future saison printanière s'annonce éclectico-ethnique. Et avec l'annonce d'une ouverture imminente à Paris de la marque californienne Chrome Hearts, déjà adoubée par Colette, ciselant niveau 12 sur l'échelle du riche tiers une bimbeloterie mode très à cheval sur les mythes motorisés, la tête de mort a encore toutes les faveurs du mâle urbain. Un culte gothiquement entretenu aussi par le cannois Caption (www.captionjewelry.com), dont la gourmette gravée d'un « sexy » du meilleur goût devrait faire un tabac lors des futurs castings « Star' Ac ».

Savoir enfin que les plus beaux bijoux pour homme restent ceux qui ne se voient pas _ ainsi des baleines de col en argent de chez Cartier _, et que le problème du bijou pour homme n'est pas de le porter, mais de le prononcer. « Bijou » reste dur à « porter ». L'air du temps préfère « joaillerie masculine ». Plus noble, moins futile, hors toc et taxes. Joaille d'offrir, bonheur de recevoir si bel en ce miroir...


PIERRE LÉONFORTÉ

de luz by Marc Matyjasik

Tendances de la Joaillerie
28/08/2006


Véritable monde impitoyable de créations joaillières où audace et créativité s'associent élégamment aux savoirs-faire des plus grands artisans du luxe. Trois tendances se dégagent en 2006 : Les objets quotidiens se détournent pour se transformer en pièces de Joaillerie. Les bagues de princesse deviennent indispensables aux garde-robes féminines alors que la tendance unisexe s'affirme. Sobriété virile et formes poétiques s'harmonisent et ne se conjugue guère plus qu'au présent du couple.

Place à la création :
Le salon des joailliers créateurs Kara donne le ton. Au printemps dernier, plus de 70 jeunes joailliers de tous horizons ont poussé les portes de la Bourse de Commerce de Paris pour présenter leurs dernières créations. Jean Boggio, ancien directeur artistique des arts de la table de Baccarat, revient à ses premiers amours. Sa création impériale, inspirée des palais vénitiens et byzantins, occupe dans l'imaginaire du créateur un doux souvenir des 1001 nuits. La bague inclut une boîte à rêves et à fantasmes, elle s'ouvre pour révéler un petit rhinocéros que l'on aperçoit en transparence. Précieuse, cette bague en or jaune se voit parée d'une améthyste et de saphirs.

Le quotidien redesigné
Libres et liés fut le nom du 3ème concours des nouveaux créateurs, initié par E.LECLERC. Un jury présidé par Chantal Thomas et composé de nombreuses personnalité a choisi de récompenser, pour la catégorie bijoux de séries, les créateurs Franck Montialoux avec son étonnant bracelet trombones et Serge NOEL avec son collier clé Réelle " couplisation " d'éléments du quotidien pour des pièces aux symboles d'unions qui se règlent sur soi et qui s'ornent de matériaux brut et précieux tels que l'or massif, jaune ou gris.

Folies et fantasmes
Les tendances de ce premier semestre 2006 annoncent que l'argent brossé ou poli l'emporte sur le clinquant. Bracelets, bagues, pendentifs et broches se conjuguent désormais aussi au masculin. Bracelet menotte signé Helmut Lang, bague pendentif Love à vis de Cartier, bague à clous de chez Louis Vuitton ou à rondelles de Serge Thoraval. Le platine et les mini altères sont hyper tendances chez Thomas Thorp.
A noter, quelques pièces d'exception de Haute Joaillerie : les pendentifs en jade du

Guatemala de la marque De Luz, signé Marc Matyjasik inspiré par les grandes civilisations et associant authenticité et modernité ; les bagues serties de pierres rares d'Hélène Coutaigne-Delalande, sans oublier les créations de Victoire de Castellane. La créatrice exposera d'ailleurs, au Bon Marché, du 9 Septembre au 14 Octobre. Univers personnel où Victoire se dévoilera à travers 25 tiroirs secrets symbolisant sa personnalité. Pour cette exposition, Victoire a créé des objets et des bijoux exclusifs en éditions limitées et à des prix très doux.

Fééries au premier plan
Pour la rentrée, joailliers et jeunes créateurs conjuguent audace et imagination. Rêve bleu, rouge passion et noir mystère pour des intensités de couleurs qui vous transportent dans des mondes féeriques. Sigomonta, collectif de maîtres joailliers et designers franco-hongrois, nous fait part de son amour pour "l'équitation !", avec sa Cravache en or gris
sublimée par une spinelle noire de 30 carats et du cuir pour son élasticité en toutes circonstances ! Pouvoir et sobriété sont toujours ici et là avec des bagues serties de pierres d'ailleurs. La créatrice Lydia Courteille, avec sa clientèle d'artistes, d'amateurs avertis, de collectionneurs, tous passionnés, propose un choix infini de pièces plus exceptionnelles les unes que les autres. Experte dans l'art de remanier des bijoux anciens et de les remettre au goût du jour, elle nous emmène dans un monde de fantaisies héroïques. Sa bague Prométhée, allie un cristal de roche à inclusions avec une image d'exception, paré de diamants bruns. Civilisations égyptiennes et symbolisme envoutent la créatrice, nous épinglant de son pendentif Tête de mort et épée : des diamants sur sarcophage contrastés d'un or noirci.

On ne sait plus si le bijou se porte pour son concept ou pour lui-même. Désormais, c'est dans le jeux et dans ses codes que la personnalité sera à même de s'exprimer. Pour un grand nombre de pièces, qui restent l'apanage d'une élite et d'une certaine forme de distinction, le clin d'œil fait naître audace à celui qui le porte. A l'ère de l'individualisme et de la quête personnelle, nombreux sont ces citadins qui retiennent avec une certaine nostalgie la notion patriarcale du couple. Indépendant ou lié, c'est dans la perspective de l' union, à deux ou à son moi profond, que cette appartenance à la pierre et aux matières les plus précieuses, fait d'une création joaillière, la prolongation de sa personnalité.

www.kara-expo.com
www.laboutiquedesjoailliers.com

Prix :
Bracelet trombones Franck Montialoux : 66,70 euros
Collier clé Serge Noël : 173,30 euros
Bague pendentif Love à vis Cartier : 1360 euros
Bague Prométhée Lydia Courteille : 4900 euros
Tête de mort et épée Lydia Courteille : 5900 euros


Alexandre Leroy

AD de luz by Marc Matyjasik

de luz by Marc Matyjasik

America

Henri Cartier-Bresson

Boucheron

Nilofer Shahid -couture Josephine and Noor-Jahan Homage to two Empresses

Dear Shaded Viewers,

Nilofer Shahid was invited by Didier Grumbach, President of the Chambre Syndicale de la Haute Couture to show her collection during the week of couture in 2005 during the Baenciaga tribute at the Joyce Galerie. This collection will be presented at the Joyce Galerie de Valois from February l - to 9th, 2007 .

NilofermidriffCapritrousers

The Ambassador of Pakistan came over and introduced himself to me, later I asked him if I could take his photo. Couture designer Nilofer Shahid is not only beautiful but an inspiration to other women in her country showing that it is possible to work and to succeed as a woman in the Muslim world. In 1997 she was referred to as the "Dior" of Pakistan. She has Madonna, Beatles George Harrison's wife and the Royal faimlies of Saudi Arabia and West Asia on her client list. Nilofer also designed a dress for the late Princess Diana when she visited Pakistan.

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Nilofer Shahid, the owner of the prominent fashion house of Meeras, belongs to a prestigious Pathan family of Pakistan. Nilofer had no formal training when she opened her small workshop in l978. Ten years later she started her fashion house "Meeras" in the ancient city of Lahore. Lahore is one of the capitals of the Mogul empire, today the capital of Punjab and the cultural hub of Pakistan. Lahore is regarded as the city of musicians and poets, whose ghazals enchant men and whose qawali carry their prayers up to God. The meaning of "Meeras" and the concept of the house is to recreate the rich cultural heritage of the past.


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Lovedthisman
The seating was a bit tight chez Boucheron and this delightful man decided the best way for him to be comfortable was to embrace the two women on either side of him. Something about him reminded me of iconic photographer William Klein.

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The collection was an homage to two Empresses - Josephine and Noor-Jahan.

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Boucheron's jewels added colour to the all white collection. Pearls, emeralds, rubies, diamonds and opalescent jade were the Mogul's favourite. Apart from a Kashmiri mother, Nilofer's family tree also boasts of Isa Khan Niazi, a general in the army of Sher Shah Suri, whose tomb is located near the World Heritage Site of Humayun's Tom in Delhi. Her father came from the Niazi clan who are the direct descendants of Mayamoto, daughter of the King of Afghanistan that later settled in Northern Punjab. She was born in Karachi and later moved to Lahore and was the first designer to introduce antique zardosi work - dull gold and silver look She was also the first to introduce block prints using the lungis of Sargodha in the l970's. She has always admired the work of Christian Lacroix who, by the way, will be honored at the 2007 festival d'Hyeres. Nilofer's philosophy comes from Paulo Coelho who in The Alchemist says that when you take risks and decide you have no choice but to take a difficult path, the whole Univers conspires to help you.

Later,

Diane

Contact: Marc Matyasik +33607266868
Directeur Artistique - Marco de Rivera