lundi 20 décembre 2010
Monet / Paris
Monet is recognized as one of the creators of Impressionism, the most satisfied and most constant of the Impressionist painters, at the same time as the leader of the Impressionist movement.
mardi 14 décembre 2010
Jean-Louis Véret et Le Corbusier
"Corbu and Cie en Inde", FE parle de l'importance de Pierre
Jeanneret, cousin de Corbu, qui a dirigé tout le chantier de Chandigarh, il
écrit:" C'est cette singulière aventure familiale souvent oubliée (celle
aussi de collaborateurs comme Jean-Louis Véret) qu'ont restituée Eric
Touchaleau et Gerald Moreau, lors d'une exposition à la Monnaie de Paris."
IOn peut donc trouver à l'expo le livre de ces deux auteurs intitulé : Le
Corbusier, Pierre Jeanneret. L'Aventure Indienne.
Dans le Monde du Livre daté du 1O Decembre 2010,l'article d' Edelman Frederic
Réjane : La Belle Epoque
Michael Jackson par Arno Bani
samedi 11 décembre 2010
Madame Grès au musée Bourdelle Paris
Le musée de la mode de la Ville de Paris, fermé pour travaux jusqu'au printemps 2012, propose une programmation hors les murs.
Le musée Galliera inaugure sa programmation hors les murs au musée Bourdelle avec la première rétrospective parisienne jamais consacrée à Madame Grès (1903-1993).
Maître de la couture vu par ses pairs comme le génie tutélaire de la profession, Madame Grès ne cessa de répéter tout au long de sa vie : « Je voulais être sculpteur. Pour moi, c'est la même chose de travailler le tissu ou la pierre ». Sa quête la fit parcourir le monde antique mais aussi l'Afrique du Nord, l'Inde… Un voyage de cinquante ans qui va de la statuaire hellénistique au minimalisme intransigeant dont elle est le précurseur au sein de l'univers de la mode.
Ainsi, c'est au musée Bourdelle que les robes sculptées de Madame Grès trouvent, plus que nulle part ailleurs, une place légitime. L'exposition réunit quelques quatre-vingt pièces provenant des collections du musée Galliera ainsi que de prêts de collectionneurs privés et de créateurs contemporains.
En 1933, les modèles de la future Madame Grès – de son vrai nom Germaine Krebs — sont déjà connus sous le nom de la maison de couture Alix. En 1942, Germaine Krebs ouvre sa propre maison de couture au nom de Grès qu'elle dirigera jusqu'en 1988. À partir d'un vêtement qu'elle rêvait sans coutures, elle invente une économie de lignes et de volumes volontairement atemporelle – originelle, transformant le corps de la femme en déesse.
Robes asymétriques, drapées à l'antique comme moulées sur le corps, robes en volume lorsqu'elle travaille la faille ou le taffetas : ses exigences de création la différencient de ses contemporains. Insensible aux engouements passagers, aux tendances qui marquent les collections d'une saison, elle préfère « sculpter » des pièces uniques dont le nombre fait collection. On reconnaît un chef-d'œuvre de Madame Grès à sa pureté – l'apparente simplicité de son art dissimule toujours l'extrême complexité de son savoir-faire.
L'exposition réserve une place de choix aux pièces les plus emblématiques de la griffe : les robes du soir – des drapés qui, en 1976, lui valurent un Dé d'or. Créées depuis les années 30 jusque dans les années 80, toujours en jersey, souvent ivoire ou gris perle, ces robes sculpturales traversent le temps sans pâlir – photographiées par Richard Avedon, Guy Bourdin, elles sont largement publiées dans les magazines féminins. Quant aux pièces de jour : robes et manteaux des années 50, modèles épurés réalisés en lainage double face des années 60 et 70, elles restent une référence pour les couturiers et les créateurs d'aujourd'hui. Madame Grès est au-delà des modes.
© Ph. Ladet et Cl. Pignol / Galliera / Roger-Violle
vendredi 10 décembre 2010
Debra Shaw
John Nollet, hairdresser to the stars, has produced a calendar "Hairdressers against AIDS" in partnership with L'Oreal and UNESCO. The hairdresser / photographer shot Vanessa Paradis, Diane Kruger, Lou Doillon, Cecile Cassel, Audrey Marnay, Debra Shaw, Ludivine Sagnier, Monica Cruz, Monica Bellucci and Amanda Decroix, Audrey Tautou, or Doutzen Kroes. You can find this schedule on sale in 5,000 hair salons in France for 5 euros. funds will be donated to UNESCO.
Debra Shaw : Photo Jhon Nollet
mercredi 8 décembre 2010
mardi 7 décembre 2010
lundi 6 décembre 2010
Coco Chanel
“When I’m bored I feel very old, and since I’m extremely bored with you, I’m going to be a thousand years old in five minutes. . . .”
It would be difficult not to fall in love with anyone this honest and this blunt, but these are the “pearls” of wisdom that fell out of the mouth of Gabrielle Chanel. For those who intimately know the business of fashion, it is a fact that along with its cast of players come a large doses of lying or “embroidering the truth,” sarcasm, and bitchiness galore. Mlle. Chanel was by no means immune to any of these attributes.
Justine Picardie has given us new reason to doubt the very origins of the great designing mind of Chanel. Ms. Picardie points out, very assiduously, that Mlle. Chanel had more versions of the truth than any pathological liar could conjure up.
Chanel had a different version of every event, especially of her humble beginnings, and could weave a fairy tale faster than she could sew a button. What remains from all these versions is simply this: No one knows exactly where she came from, how she was raised, who raised her, nor even if she had birthed a child. It seems that Mlle. Chanel had no intention of ever leaving behind the “true” history of her life. What she did leave is a richly embroidered truth from which we can pick and choose regarding her life.
She was most definitely a woman who loved men and in most cases, a woman who felt it was worth it to support these men long after she bedded them. She was attracted to artists, aristocrats, phonies, the rich, the poor, the needy, but she always came away with something from each of them. There were two extremely questionable liaisons with two extremely questionable Germans, pairings that aroused the curiosity of many for many years—but even their stories were “enhanced.”
No matter the topic, no matter the situation, there are several things that one can say about the great Gabrielle Chanel and they are that: she was smart before it was vogue for women to be smart; she was talented before it was chic for a woman to exhibit her talents; she was opinionated, forthright, and painfully honest. Most of all there is the legacy that she left us.
“I’m not sure that I do entirely understand; for so much of Chanel remains enigmatic—the more you run after her, the more elusive her ghost becomes.”
For those who have read other biographies of Mlle. Chanel, this is the one to read since Coco Chanel: The Legend and the Life will debunk many of your prior assumptions or at the very least, give you plausible reason to think twice about what you have previously read.
dimanche 5 décembre 2010
L’éternité dans l’art .
jeudi 2 décembre 2010
Azzedine Alaïa
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