lundi 29 mars 2010
samedi 27 mars 2010
vendredi 26 mars 2010
jeudi 25 mars 2010
Sylvie Corbelin
jeudi 18 mars 2010
Les Arts Décoratifs : Marc Audibet
Du Jeudi 1er Avril 2010 au Dimanche 8 Mai 2011.
C’est une première dans l’histoire : Les Arts Décoratifs osent une rétrospective critique de la mode contemporaine. Généralement consacrée aux monographies, la programmation s’ouvre à une approche chronologique.
Face à la surabondance des événements et images de mode aujourd’hui relayés par les médias, il s’agit de prendre du recul pour écrire l’histoire idéale de la mode contemporaine et en conserver la mémoire.
En 1971 la présentation iconoclaste de la collection d’Yves Saint Laurent inaugure le défilé contemporain. De plus en plus spectaculaire, il devient un véritable show, grandiose ou minimaliste.
Marc Audibet a marqué l’histoire de la mode des années 80 en développant une mode exigeante et visionnaire, ayant mis au point des tissus extensibles , il élargit la notion d’élasticité, habituellement réservé au jersey, à des tissages classiques comme le lin, la mousseline ou encore le satin. Ses recherches textiles lui permirent de décliner des vêtements sans fermetures, ni boutons, s’enfilant comme des t-shirts. L’aventure n’aura qu’un temps mais l’influence de Marc Audibet sera grande."
En 2000 le défilé de Martin Margiela montre une mode au bout du rouleau où le vêtement a presque disparu.
Les Arts Décoratifs rendront hommage aux auteurs qui ont fait la mode de ces dernières décennies, au-delà des effets de marques.
L’exposition montrera les créations des années 1970-1980 au premier semestre, suivies par celles des années 1990-2000. Les vêtements des collections des Arts Décoratifs ou dons des créateurs seront accompagnés de photos et vidéos des défilés qui ont influencé les courants stylistiques.
Lieux en relation
Musée des Arts Décoratifs
107, rue de Rivoli
75001 Paris
33/ (0)1 44 55 57 50
Tuileries/ Palais royal (Ligne 1)
vendredi 12 mars 2010
La maharani Gayatri Devi : Le magazine Vogue l'avait classée parmi les dix femmes les plus belles du monde
La maharani Gayatri Devi fut la dernière des reines de Jaipur au Rajasthan. Jeune princesse de Cooch Bihar, petit royaume situé au Bengale, elle part vivre au Rajasthan pour devenir la troisième épouse du maharaja de Jaipur. Luxe, chasse à dos d'éléphant, voyages et éducation en Europe, mariage secret et finalement indépendance nationale sont la trame de ce récit.
Le magazine Vogue l'avait classée parmi les dix femmes les plus belles du monde. Beauté d'un autre temps, Gayatri Devi, a connu un destin hors du commun. Témoin et participante active de la tumultueuse histoire de l'Inde du 20ème siècle, elle incarnait à la fois le passé glorieux du pays et sa renaissance politique, post-indépendance.
A VISIT TO KHADI AND CO BESS NIELSEN AND THE LIFE AND LEGEND OF LA MAHARANI GAYATRI DEVI : Diane Pernet. Photo : Marco de Rivera
mercredi 10 mars 2010
Le Grand Prix du Livre de Mode récompense Catherine Ormen
Le Grand Prix du Livre de Mode a été décerné à Catherine Ormen pour son ouvrage "Comment regarder… la mode, Histoire de la silhouette" aux Editions Hazan.
Le vendredi 5 mars à Lyon, la quinzième édition du Grand Prix du Livre de Mode a récompensé cette année Catherine Ormen, conservateur du patrimoine, diplômée de l’Ecole du Louvre et historienne de la mode. Celle-ci succède à Frédérique Mory et "Bloc Mode".
Le prix, initié par l’Université de la Mode - Université Lumière Lyon 2- a pour but de mettre en lumière des auteurs spécialisés en ce domaine et dont les publications récentes apparaissent particulièrement intéressantes, porteuses d’une analyse nouvelle et significative de la mode.
La mode est entendue dans son sens large et inclut tous ses territoires de recherche, l’histoire, la sociologie, l’économie, ses rapports avec la décoration, le design, la couture.
Le Grand Prix du Livre de Mode a été décerné à l’issue d’une suite de tables rondes associant écrivains, auteurs et lecteurs, personnalités, étudiants et enseignants, tous amateurs de livres de mode. Dix livres concouraient.
mardi 9 mars 2010
lundi 8 mars 2010
Bergé exhibe la obra de Saint Laurent, quien, asegura, no dejó herederos
Bergé exhibe la obra de Saint Laurent, quien, asegura, no dejó herederos
París, 8 ene (EFE).- El Petit Palais muestra a partir de hoy la creación del maestro Yves Saint Laurent (1936-2008), el modisto que quiso ante todo "servir a las mujeres", con una retrospectiva monumental que hasta el próximo 29 de agosto reúne más de 300 modelos suyos, vídeos, documentos y una reconstrucción de su taller.
El principal promotor de la muestra, cofundador de la firma YSL y amigo más próximo al artista, el empresario Pierre Bergé, subrayó hoy a la prensa su objetivo con esta exposición: "Poner en presente una obra y descubrirla a quienes la conocen mal".
Visiblemente emocionado, a veces casi al borde del llanto mientras respondía las preguntas de la prensa, el que fue también compañero sentimental del modisto rechazó por completo la idea de que pudiese ser una exposición-testamento.
"¿Un testamento para legar qué a quién? Hoy no hay nadie para recoger ese testamento", recalcó, convencido de que no existe ningún joven estilista a quien él pudiera ayudar a crear su obra como hizo con Saint Laurent.
Rememoró entre otros momentos fundamentales las dificultades que atravesó con su amigo en 1961, durante varios meses, para poder crear su propia casa de costura, lo que consiguieron finalmente en enero de 1962.
Ahora, "los jalones de toda una vida están ahí, y sobre todo los de la creación de Yves Saint Laurent, que son enormes", destacó.
La primera sahariana, el primer traje pantalón, el primer esmóquin... "Todo eso parece moda, pero va un poco más lejos", resaltó.
Citó como ejemplo de ese "más allá de la moda" el traje pantalón que Saint Laurent fue el primero en colocar sobre el cuerpo femenino, y que fue en realidad un verdadero "manifiesto social".
Como prueba de ello contó la "historia dentro de la historia", ocurrida hace décadas en Nueva York, cuando les "pusieron en la puerta en una decena de restaurantes" porque su acompañante femenina llevaba pantalones, y terminaron comiendo en la habitación del hotel.
"Si debemos definir a Yves Saint Laurent diría que sí, que fue un artista, pero que sabía muy bien que la moda no era un arte" añadió.
Él trabajaba "con limitaciones absolutas", algo que mucha gente olvida por desgracia, y el mayor límite de su arte "era el cuerpo de la mujer", destacó Bergé.
Saint Laurent sabía que un vestido "debía ser portado, que no se vestía de fantasías", y que no era gratuito, sino que servía para algo, "que tenía una definición y una verdadera utilidad".
La moda debe permitir que la mujer "se sienta segura, se sienta ella misma, y confortable", y ese era en todo caso el objetivo que persiguió Saint Laurent, aseguró.
Era un artista "que no olvidó nunca estrictamente cuál era su oficio y su oficio era eso, servir a las mujeres", tarea a la que se dedicó con "inmenso rigor" y "gran integridad", sin dispersarse jamás, subrayó Bergé.
Añadió que Saint Laurent era un modisto a quien "no le gustaba la moda".
"Esto es muy importante", pues pensaba que la moda destruía la creación, y que lo interesante era ofrecer "un estilo", y eso es lo que se ve aquí en esta exposición.
Al contemplar los modelos exhibidos "se comprende muy bien que hay un hilo conductor que une desde el primero al último modelo, y que ese hilo conductor se llama estilo", consideró.
Elegir las prendas que iban a resumir los momentos principales de la obra de su amigo "fue un trabajo que se hizo muy fácilmente, pues poseemos la totalidad de la obra de YSL", recordó Bergé.
La muestra recrea la carrera del modisto, hasta su último desfile, presentado en el Centro Pompidou en 2002, desde su primera colección para la firma Christian Dior.
Firma en la que comenzó a trabajar en 1955 y donde aprendió "todo lo que sabía" de su mentor, Christian Dior, cuya muerte prematura, en 1957, colocó también precozmente a Saint Laurent al frente de la célebre casa de costura, donde comenzó a crear su nuevo concepto de mujer.
Con él triunfó desde el primer momento y conquistó la gloria internacional con su colección "Trapecio", en 1958, en la que abandonó el corsé y comenzó a liberar el cuerpo de la mujer, fabulosa intuición del deseo de libertad que estallaría en la década de los años 60 del siglo pasado.
dimanche 7 mars 2010
jeudi 4 mars 2010
Histoire idéale de la mode contemporaine
Les Arts Décoratifs proposent la première exposition sur l’histoire de la mode contemporaine en deux volets. D’abord objet d’un livre publié à l’automne dernier, « Histoire idéale de la mode contemporaine » prend une nouvelle dimension à travers deux expositions consécutives. Aux décennies 70 et 80 suivront, dans un deuxième temps, les années 90-2000 comme deux volumes d’une rétrospective historique et sélective de la mode.
Dans une scénographie qui évoque l’idée de pages d’un ouvrage éclaté, près de 150 pièces et 40 vidéos retracent cette histoire parfois oubliée. Deux défilés, deux dates clés ouvrent et ferment ce premier volet : la collection d’Yves Saint Laurent de 1971 et le défilé « les rap-pieuses » de Jean Paul Gaultier en 1990. Soit 20 ans de collections passés au crible du regard du musée pour retenir les modèles les plus emblématiques.
L’exposition est le résultat d’un long travail d’identification, de visionnage de photos ou de films des défilés des quarante dernières années afin de privilégier ceux dont l’inventivité et le style témoignent d’un travail d’auteur. L’histoire idéale de la mode contemporaine révèle les collections les plus magistrales ou expérimentales, des grands noms de la mode mais aussi certains créateurs plus intimes et secrets. On perçoit, d’année en année, de saison en saison, les grands changements stylistiques et les partis pris de chacun des couturiers qui entretiennent l’idée d’une création de mode de qualité.
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Les années 1970
Les années 70 se caractérisent par l’étendue du phénomène « Prêt-à-porter » dont Yves Saint Laurent est la figure tutélaire. Sa collection créée en 1971, hommage aux années 1940, à la fois scandaleuse et révolutionnaire rend désuète l’image de la haute couture et sera déterminante pour l’avenir de la mode. Le terme de créateur est alors adopté pour désigner une génération de couturiers qui s’expriment dans le prêt-à-porter aux ambitions démocratiques. Des nouveaux stylistes se réunissent cette même année, sous l’appellation « Créateurs et Industriels » fondée par Didier Grumbach et Andrée Putman. Issey Miyake est un des plus brillants représentants insufflant un vent de modernité et de simplification à la mode dont le caractère novateur est aux antipodes des préoccupations occidentales de l’époque. Cacharel, Kenzo, Ter & Bantine par Chantal Thomass ou encore Dorothée Bis, expriment ce vaste élan lié à l’industrie du prêt-à-porter qui prend un essor formidable au point que tous les couturiers eux-mêmes initient des lignes plus accessibles. D’autres créateurs, comme Sonia Rykiel, très présente sur la scène de la mode depuis la fin des années 1960, ou Karl Lagerfeld pour Chloé, sont au sommet de leur expression créative.
Tous deux, influencés par les années 1930, renouvellent l’image d’une femme ultra sophistiquée, d’allure nonchalante mais ayant une réelle élégance. Madame Grès, figure singulière et d’exception, contemporaine de Madeleine Vionnet, de Mademoiselle Chanel, de Cristobal Balenciaga et de Monsieur Dior, virtuose du jersey depuis les années 1930, occupe le devant de la scène de l’essor du prêt-à-porter avec des collections, dans les années 1970, qui tranchent par l’épure. De leur côté Chantal Thomass, Dorothée Bis et Kenzo, qui poursuivent le travail de leurs aînées et pionnières Emmanuelle Khanh, Christiane Bailly et Michèle Rozier, deviennent les créateurs de mode jeune aux antipodes des anciens principes de la haute couture.
À partir de 1976, les nouvelles créations de Thierry Mugler vont clore le chapitre d’une décennie placée entre évasion et pragmatisme d’une grande jeunesse. Mugler anticipe le portrait du créateur démiurge et visionnaire des années 1980.
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Les années 1980
Les années 1980 sont synonymes d’indépendance, d’autonomie de création à la fois festives et débridées. Elles se caractérisent par une liberté de ton, d’expression et d’excès, empreinte d’une créativité toujours rompue et renouvelée. Une génération de créateurs japonais s’est démarquée par l’usage de l’asymétrie de tissus froncés, déchiquetés et souvent noirs. Les collections de Rei Kawakubo pour Comme des Garçons sont des ruptures stylistiques d’une saisissante modernité qui engagent l’Occident vers un nouveau rapport au vêtement.
Yohji Yamamoto partage ce goût pour la déconstruction en formulant une vision personnelle et sensuelle de la mode qui trouve son apothéose dans les années 1990. Jean Paul Gaultier symbolise l’ère de l’insolence en contestant les conservatismes. Son travail consiste à démolir les vestiaires masculins et féminins. Il introduit des gestes de mode, une « dégaine » et une culture qui fabriquent ensemble l’esthétique de la mode de cette décennie. Thierry Mugler et Claude Montana, dans un registre spectaculaire pour le premier, théâtral pour le second, poursuivent leurs obsessions. Fantasmant la garde-robe idéale d’une femme dominatrice aux épaules carrées, surdimensionnées, à la taille étranglée, devenant le moule de la silhouette des années 1980.
Gourmande autant que généreuse, la décennie favorise l’éclosion de créateurs aux vocabulaires distincts, des plus futiles aux plus essentiels. Parmi eux, Marc Audibet et Azzedine Alaïa énumèrent une mode s’inscrivant dans la lignée des œuvres de Madeleine Vionnet ou Cristóbal Balenciaga. Roméo Gigli et Sybilla envisageront de nouveaux atours pour une femme romantique, au charme fané. Karl Lagerfeld chez Chanel en 1983, Christian Lacroix chez Jean Patou en 1981, puis dès 1987 pour lui-même, renouvellent l’industrie luxueuse de la haute couture. Ils réveillent tulles et dentelles et inaugurent un courant baroque ou historique. Popy Moreni, créatrice italienne, n’hésite pas à faire du costume de la Commedia dell’arte un vêtement quotidien. De son côté, Jean-Charles de Castelbajac inaugure les relations entre l’art et la mode. Avant que les années 1990 et 2000 n’inaugurent l’ère des monopoles de luxe auxquels appartiennent les destinées des maisons de mode, la décennie « toc et chic », souvent citée stylistiquement, demeure synonyme d’autonomie et d’indépendance créatives. En 1989, le premier défilé de Martin Margiela, porte-drapeau de l’école belge, prépare le terrain aux années 1990.
Liste des créateurs présents
Yves Saint Laurent, Issey Miyake, Grès, Sonia Rykiel, Chloé par Karl Lagerfeld, Cacharel, Kenzo, Dorothée Bis, Ter et Bantine par Chantal Thomass, Claude Montana, Thierry Mugler, Jean-Charles de Castelbajac, Popy Moreni, Yohji Yamamoto, Comme des Garçons, Marc Audibet, Anne-Marie Beretta, Roméo Gigli, Sybilla, Azzedine Alaïa, Chanel par Karl Lagerfeld, Christian Lacroix, Jean Paul Gaultier
Exhibition The Last Maharajas/ Les Derniers Maharajas
mercredi 3 mars 2010
Precious
Precious: Based on the Novel "Push" by Sapphire is a 2009
American drama film directed by Lee
Daniels. Precious is an adaptation by Geoffrey S. Fletcher of the 1996 novel Push by Sapphire. The film's mainly female cast
features Gabourey Sidibe as the title character, with
Mo'Nique,
Paula Patton, Mariah
Carey and Lenny ...
mardi 2 mars 2010
Bess Nielsen, Khadi and Co rend hommage à l’élégance : Gayatri Devi, maharani1 de Jaïpur
Bess Nielsen, Khadi and Co
rend hommage à l’élégance :
Gayatri Devi, maharani1 de Jaïpur
Le regard est profond, grave. Gayatri Devi est belle, elle le sait. Il y a plus.
Née princesse du petit état de Cooch Bihar, elle a, très jeune, très amoureuse, voulu avec détermination épouser Man Singh II, maharadjah de Jaïpur ; le prix était d’être la troisième épouse. Accepté. Ce fût la seule concession.
Gayatri Devi a vaincu le purdah, réclusion des femmes de haut lignage dans la tradition hindoue. Elle a créé la première école de filles . Membre du Congrès, elle a été élue au parlement.
Elle a conquis et séduit le monde avec grâce, aisance, allure.
La femme, somptueuse en sari, glamour en tailleur, mêlait avec art sa culture d’orient à l’européenne.
Moderne et fière du passé, son élégance, comme le dit Bess Nielsen, était la vraie : celle qui vient de l’intérieur. Harmonie entre intérieur et extérieur. Bess ajoute : « l’élégance, fondée sur la tradition, c’est comme un emballage, un revêtement de grâce et de précision épurées » .
Aussi, pour illustrer la sortie de « La dernière reine de Jaïpur, la vie légendaire de la maharani Gayatri Devi » ouvrage paru aux Editions White Star, texte de Dharmendar Kanwar, Bess Nielsen a choisi quatre photos parmi les 411 documents du livre.
Ces photos, symbolisant l’élégance d’une femme, seront exposés avec des saris chez Khadi and Co.
Rappelons-nous, le sari ou saree, est une longue pièce de tissu d’un seul tenant, de quatre à neuf mètres de long pour environ un mètre vingt de large. L’une des extrémités est généralement unie, l’autre, travaillée, révèle des merveilles de tissages parfois rebrodés. Les bandes latérales sont aussi parures ou identité telle les rayures bleues du sari blanc de l’ordre de Mère Teresa.
Le drapé, la matière, l’impression, les ornements révèlent la région, l’origine sociale, l’époque.
Rendez-vous à l’Emporium Khadi and Co du vendredi 5 au samedi 20 mars 2010,
les mercredis, jeudis, vendredis et samedis de 11 h à 19 h.
Khadi and Co Emporium - Bess Nielsen.
37, rue Debelleyme – 75003 Paris. tél. +33 1 42 74 71 32 - www.khadiandco.com
Presse - Christine Blanc - tél/fax +33 1 48 04 93 57 - kikiblanc@aol.com
Photo: The Maharani of Cooch Behar, Gayatri Devi's Mother
lundi 1 mars 2010
Pierre Cardin
Réalisée à l’occasion du soixantième anniversaire de la maison Cardin, cette rétrospective sur l’oeuvre du couturier Pierre Cardin révèle un créateur omniprésent, insatiable, qui a créé un style si fort et si nouveau qu’il a révolutionné la Haute Couture et marqué à jamais l’histoire de la mode.
Pionnier d'une mode design, voire architecturale et futuriste, le couturier l'est aussi dans sa vision de la mode, qu'il n'hésite pas à présenter de façon populaire et internationale.
Pierre Cardin, 60 ans de création, textes de Jean-Pascal Hesse, préface de Laurence Benaïm, éditions Assouline
Au-delà du processus créatif, Pierre Cardin est le premier à voir dans la mode un véritable business et bâtit un empire grâce aux licences qui portent son nom aux quatre coins du monde.
Cet ouvrage, essentiellement visuel révèle l'immense apport de Pierre Cardin dans le monde de la couture, des accessoires et du parfum. Il reflète l’esprit et l'énergie de ce créateur unique en son genre, ainsi que la dimension internationale de la marque.
Historien de formation, Jean-Pascal Hesseest l’auteur de diverses publications. Proche collaborateur du célèbre couturier, il dirige, depuis 1995, le service de presse du groupe Pierre Cardin. Par ailleurs conseiller d’arrondissement de la Ville de Paris, il est en charge des grands événements culturels auprès du maire du XVIe arrondissement.
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