vendredi 28 février 2014
jeudi 27 février 2014
L’exposition Papier glacé Condé Nast
Élégance et séduction, excellence et sens artistique font l’esprit Condé Nast. Depuis un siècle, le groupe de presse - éditeur des magazines Vogue, Vanity Fair, Glamour ou W - joue un rôle déterminant dans le domaine de la photographie de mode.
L’exposition Papier glacé, un siècle de photographie de mode chez Condé Nast puise dans les archives de Condé Nast New York, Paris, Milan et Londres, pour réunir cent cinquante tirages, pour la plupart originaux, des plus grands photographes de mode de 1918 à nos jours.
Les rédacteurs en chef et directeurs artistiques des magazines Vogue, Glamour ou plus récemment W, n’ont eu de cesse de révéler d’immenses talents, jouant un rôle déterminant dans le renouvellement de la photographie de mode. Le premier photographe engagé par le groupe de presse est le baron Adolf de Meyer. Il sera suivi par Edward Steichen, George Hoyningen-Huene, Horst P. Horst, Cecil Beaton, Erwin Blumenfeld, Irving Penn. Puis, à partir des années 1950, Guy Bourdin, William Klein, David Bailey, Helmut Newton, Bruce Weber, Peter Lindbergh, Steven Meisel, Inez van Lamsweerde & Vinoodh Matadin, Miles Aldridge …
Cette exposition est l’occasion de redécouvrir le travail de quatre-vingt photographes à l’orée de leur carrière. Organisée de manière thématique, elle permet de souligner les filiations entre ces photographes qui façonnent, au fil des pages, l’identité et l’histoire de Vogue. Des dialogues se nouent ainsi naturellement entre les intérieurs élégants du baron de Meyer et Henry Clarke ; les mises en scène narratives de Cecil Beaton et Deborah Turbeville ; les instantanés de Norman Parkinson et William Klein; les expérimentations visuelles d’Erwin Blumenfeld et Paolo Roversi; les jeux surréalistes de Man Ray, John Rawlings et Guy Bourdin ; les corps glorifiés de Horst P. Horst, Herb Ritts et Albert Watson ; les portraits de mannequins d’Irving Penn, Peter Lindbergh et Corinne Day.
Les photographies sont accompagnées d’une quinzaine de vêtements de couturiers, issus des collections du Palais Galliera. Dans deux salons de lecture, une cinquantaine de magazines sous vitrine et des écrans permettent de « feuilleter » les sujets marquants des publications du groupe Condé Nast. Enfin, des films contemporains projetés sur grand écran esquissent l’avenir possible de la photographie de mode.
Après Berlin, Milan, Edimbourg, l’itinérance se poursuivra à Zurich, West Palm Beach, Fort Worth et Tokyo.
Cette exposition est organisée avec la Foundation for the Exhibition of Photography, Minneapolis.
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Violeta Sanchez & Luz Sanchez
French actress Violeta Sanchez, muse to Yves Saint Laurent and Helmut Newton, is bringing her story full circle. On Saturday, she will don a tux to present the Atelier Pallas Fall ’14 collection of made-to-order smokings and smoking-inspired jackets and dresses. And it will be a family affair, as Sanchez’s 15 year-old daughter, Luz, will model the pieces. It’s a nice display symmetry, as Sanchez’s own adventures in fashion started with a tuxedo.
“When I first started out, I spent all my time at the cinema. My ideal was Marlene Dietrich in menswear, so when I got my first paycheck, I ordered a smoking from a tailor in the eighth arrondissement. He came recommended by Paloma Picasso, who was doing our set and costumes,” she recalled the other day in the Pallas atelier in Paris’ ninth district. “He had never worked with a woman before, let alone one who was not yet 20, so he really threw his heart into it.”
Sanchez proudly wore that tux to her first premiere, the aptly-named play Succès. At the dinner that followed, she found herself seated with Saint Laurent and Newton. “I knew little about fashion, or Vogue, or Newton, or anything,” she admitted. But by evening’s end, Sanchez had two new friends and had made a promise for a shoot. Within days, she appeared on the Saint Laurent couture runway. “I didn’t fit the type of the time, so that story really started with a chance meeting that transformed and became something else.” It’s not so much a fashion story, she noted, than one about how what you wear can change your life.
Despite her many years with Saint Laurent, the smoking designed for her by Atelier Pallas owners Daniel Pallas and Véronique Bousquet is only the second Sanchez has ever owned (she still wears the original). “When I saw the atelier, I realized how much I missed that world. When I tried it on, I was hooked,” she laughed. “It was all really simple. I wanted to bring my story to theirs, out of conviction.”
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